Un tribunal administratif italien a donné raison à Consob, le régulateur national, qui a établi en 2017 que Vivendi contrôlait effectivement Telecom Italia, rejetant ainsi les appels déposés par les deux sociétés contre la décision et les pénalités financières associées.

En 2017, Consob avait infligé une amende de 74,3 millions d’euros à Telecom Italia pour avoir manqué à signaler au gouvernement que Vivendi, premier actionnaire de l’opérateur avec 24 % de parts, avait pris le contrôle de facto de l’entreprise italienne.

Le paiement de l’amende a été suspendu en 2018 après un recours déposé par Vivendi contre la décision de Consob. Le groupe français avait réaffirmé alors s’être strictement conformé aux lois italiennes.