Nokia a réitéré le 6 mars sa conviction que l’enquête interne sur de possibles irrégularités commises au sein du groupe Alcatel-Lucent, que l’équipementier finlandais a racheté en 2016, n’entraînera pas de sanctions pénales.

Un an après avoir remis un premier rapport aux autorités américaines, Nokia fournit une mise à jour concernant les irrégularités soupçonnées. Et, comme l’an passé, l’industriel minimise l’impact possible sur ses activités.

Bien que l’enquête soit toujours en cours, rien n’a pour l’heure émergé qui suggère des faits répréhensibles et il semble donc « très probable » que les éventuelles pénalités seront « limitées et sans importance ».

« Comme nous l’avons indiqué précédemment, nous avons pris connaissance de certaines pratiques relatives à la conformité au sein d’Alcatel-Lucent qui ont éveillé des soupçons, explique le rapport. Nous avons volontairement rapporté ces éléments aux autorités compétentes et avons continué de travailler sur notre propre enquête interne en coopérant avec les mêmes autorités afin de résoudre le problème. »

Le cours de l’action Nokia avait enregistré un repli à la suite de l’annonce l’an passé.