Le ministère italien du développement économique a démenti la nouvelle selon laquelle il s’apprêtait à interdire à Huawei et ZTE de participer au déploiement de la 5G, précisant qu’il n’existait aucune preuve indiquant que les équipements chinois présentaient une menace pour la sécurité nationale.

Dans un communiqué, le ministère riposte à un article du quotidien La Stampa indiquant que le gouvernement était prêt à utiliser les pouvoirs spéciaux que lui accorde la législation pour rompre les contrats avec les deux fabricants sans avoir à payer de pénalités.

Selon le quotidien, l’Italie céderait à des pressions exercées par Washington, qui affirme que Beijing utilise les équipements made in China pour espionner.