Tokyo prépare de nouvelles réglementations visant à interdire les équipementiers Huawei et ZTE de répondre aux appels d’offre lancés par le gouvernements, selon Reuters.

Cette initiative ajouterait un pays de plus à la liste de ceux qui ont cédé aux pressions américaines visant à bloquer l’utilisation des équipements d’origine chinoise pour raisons de sécurité.

Selon le journal Yomiuri, le gouvernement doit mettre à jour les règles relatives à ses fournisseurs dès la semaine prochaine.

En août, les États-Unis ont interdit aux agences gouvernementales et à ses contractants d’utiliser des équipements fabriqués par les deux entreprises de Shenzhen.

Fin août, des fonctionnaires responsables de la cybersécurité au sein du gouvernement japonais auraient mené une étude destinée à déterminer si des réglementations additionnelles étaient nécessaires pour réduire les risques de sécurité liés à l’utilisation de produits fabriqués par les deux entreprises chinoises.